De l’approche objective à l’approche subjective
L’impression 3D permet des approches objectives et des approches subjectives.
Les approches objectives se présentent tous les jours dans les journaux professionnels, ci-dessous quelques précisions non exhaustives.
- La fabrication de produits impossibles à réaliser avec des pleins et des vides en un seul bloc.
- La réalisation rapide des prototypes et des pièces de réparation rapidement disponibles.
- La création de nouvelles pièces pour des tests marketing sans charge fixe (moule, usinage etc…).
- L’impression par les distributeurs de pièces d’usure pour les produits vendus.
- La livraison des fichiers 3D d’une pièce à remplacer, avec une impression directe chez le client.
- Le client pourra imprimer des pièces personnalisées.
- Etc…
Mais il faut aussi tenir compte des aspects subjectifs
L’appréhension et l’excitation de la transformation du monde, car réaliser un objet unique en relation avec sa propre création possède une valeur subjective difficilement quantifiable. Nous abordons, les notions de personnalisation et d’objet unique, « faite le vous même » soit le « DIY » ou le « Do it Yourself » qui répondent à une certaine forme d’attente des clients et utilisateurs.
- La possibilité de créer un objet ayant une relation proche avec son créateur.
- La mise en place de nouvelles communautés en réseau, les « Makers »
- Faire des objets partagés et pas seulement de la communication dans le cadre d’un projet.
- Le plaisir de créer des objets uniques.
Tous ces éléments sont à prendre en compte dans la croissance de l’implémentation de l’impression 3D. Les éléments subjectifs de l’implémentation et du déploiement de l’impression 3D seront aussi importants que les impacts économiques et business.